
Toitures GOERENS
Votre partenaire de tradition
48 63 47-1

Présent sur le marché depuis 6 générations, Toitures GOERENS s’impose aujourd’hui comme un acteur incontournable de son domaine au Grand‐Duché du Luxembourg.
✓Une équipe d’experts:
Notre force nous la tirons d’une équipe d’experts qui, en plus d’avoir
une expérience indéniable, a su acquérir au fil des années un savoir‐faire sans faille.
Grâce aux compétences de chaque membre nous sommes capables
de répondre aux exigences de nos clients.
De plus, notre équipe est multilingue (luxembourgeois, allemand, français, anglais), ce qui facilite considérablement la communication et le suivi des projets avec nos clients.
✓La satisfaction client:
Tout projet qui nous est présenté est minutieusement analysé afin d’apporter à chaque client un service complètement personnalisé tout en veillant à l'exécution des travaux suivant les règles de l’art et le respect des mesures de sécurité. (Label Vision Zero)
La satisfaction client nous tient à coeur.
C'est pour cela que nous nous efforçons de mettre tout en œuvre pour que
nos clients soient satisfaits de nos services.
Nous exigeons le meilleur pour nos clients et cela passe entre autres
par les matériaux et techniques que nous utilisons sur nos chantiers.
N’hésitez pas à nous contacter si vous êtes à la recherche
d'un partenaire compétent et sérieux pour la mise en oeuvre de votre projet.
✓Nos points forts:
Entreprise familiale
Service de qualité
Contrôle journalier des chantiers
Respect des mesures de sécurité
Exécution suivant les règles de l'art
Matériaux de première qualité
Personnel qualifié
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Historique

Jean GOERENS avec une équipe de couvreurs,
aux alentours de 1920
L'entreprise familiale Toitures GOERENS compte parmi
les plus anciennes entreprises de toitures au Grand-Duché du Luxembourg.
Au Luxembourg, le métier du couvreur s'est développé au village de Septfontaines (Simmern) au canton Capellen.
Dès le début du 19ème siècle, presque tous les couvreurs du Luxembourg provenaient de Simmern.
À l'époque le terme de "Simmer Leendecker" était un élément courant du vocabulaire luxembourgeois.
Comme à Simmern il y n'avait pas assez de surfaces cultivables,
les habitants se sont tournés vers l'artisanat.
Ils se sont déplacés à travers tout le pays et même au-delà des frontières pour exécuter leur métier.
Beaucoup d'entre eux ont fondé une famille à Simmern et ont hérité de père en fils
l'art du métier du couvreur.
À juste titre, on peut affirmer que la plupart des couvreurs entre Meuse et Rhin
étaient originaires de Simmern.
Autrefois les habitants de Simmern chantaient le vers suivant:
"Couvrir des ardoises n'est pas un jeu pour enfants,
enfoncer des clous veut dire beaucoup!"
Après la 1ère guerre mondiale beaucoup de couvreurs ont abandonné la tradition
pour exécuter un métier plus facile.
Cela ne compte pas pour la famille GOERENS.
Jean GOERENS a aidé à la reconstruction du Luxembourg et de la France après la 1ère guerre mondiale.
La tradition familiale se poursuit jusqu'à aujourd'hui.

Arbre généalogique récent
1811 Dominique GOERENS
1858 Aloyse GOERENS
Jean GOERENS, né le 14.02.1893


Marcel GOERENS, né le 21/06/1918

Jean GOERENS, né le 19/02/1960

Jill GOERENS, née le 26/01/1989


Ralph GOERENS, né le 29/01/1992


Renouvellement des deux clochers bulbeux de la Cathédrale Notre-Dame, Luxembourg-ville, 1965
Itzig. - Une visite assez rare ont eu les écoliers samedi matin. Le coq du clocher a débarqué sans hésiter dans la pièce.
Il est descendu de ses hauteurs pour cause de réparation et de remise en peinture, ou plutôt il a été descendu par l'expert d'escalade Joseph STIEFER, compagnon de l'entreprise de toitures Marcel GOERENS de Gasperich et a fait maintenant, avant sa remontée en haut, un petit tour à travers le village.
Les enfants étaient surpris que le coq, qui s'est présenté d'en bas comme un poulet, avait une taille si respectable.
Dans son nouveau plumage brillant comme de l'or, décoré avec un ruban dans les couleurs nationales, il avait l'air assez imposant.
Entre-temps, il est retourné à son endroit à une hauteur de vingt-quatre mètres et va dans les années à venir, prédire le temps avec la même fiabilité que depuis 1895.
Tageblatt, 19.07.1950
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